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Cinem'Avis

Le cinema est un art particulier. Il nous permet de s'évader ne serait-ce que quelques heures. Certains films nous marquent de par leur histoire, leur musique. Vous serez d'accord avec moi que ce sont les meilleurs films, ceux qu'on est prêt à revoir. Ils sont présents dans notre mémoire. Voici les miens.

The Shawshank Redemption

The Shawshank Redemption est un film réalisé par Frank Darabont et sorti en 1994.

C’est la seconde fois que je regardais ce film. Tout autour de moi avait disparu. Faut dire que j’étais dans le noir complet avec mes écouteurs bien ancrés dans mes oreilles. La fin est arrivée est m’a sorti d’un long moment d’émotion intense. Ce film est d’une rareté folle et me plonge dans cette histoire de prisonniers, histoire qui pourrait dans un premiers temps rebuter certains mais c’est beaucoup plus intéressant que ça… Il parle effectivement de la vie extrême du monde carcéral américain, de la lutte sans fin pour trouver sa place dans ce monde restreint mais aussi du retour à l’autre vie, celle du monde extérieur (cette partie est extrêmement touchante et triste : Brook was here).

C’est incroyable comme ce film est magnifique, empli d’émotions joyeuses, de peur, de tristesse, de brutalités, d’amour,  de bienveillance, d’espoir et  de sérénité. Les dernières minutes sont fabuleuses. J'étais complétement sous l'émotion, comme en transe. Je ne sais pas pourquoi mais ce film m'a complétement remué le cœur

Ce film est sorti en 1994. J’ai l’impression de ne plus retrouver ce genre de film aujourd’hui, de ne plus retrouver de telles émotions et un tel jeu d’acteur. Pour ce qui est de la musique , Frank Darabont a fait appel à Thomas Newman. Les musiques sont fabuleuses et permettent de vivre les images et de ressentir les émotions à leur maximum.

« Parfois, cela me rend triste… mon ami parti, il n’est plus là. Je dois me rappeler que certains oiseaux ne sont pas fait pour être mis en cage. Leurs plumes sont juste trop brillantes. Et lorsqu’ils prennent leur envol, cette partie de vous qui sait que c’est un pêché de les enfermer se réjouit. Mais quand même, l’endroit où vous vivez est tout à coup très vide une fois qu’ils ne sont plus là… J’dois dire que mon pote me manque… »

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